Les gens sont rien que des enculés, je le répèterai jamais assez. La preuve en images...Bon, la preuve sans images parce qu'avec le prix du ravalement de facade de N/B j'ai plus les moyens d'inclure une balise, mais donc merde quoi elle vient cette preuve ?

Preuve donc : si l'infâme duo satanique et crypto-communiste "Fabienne Franseuil & Galadrieve" (à la Cigalle du 12 au 34) ne me l'avait pas lâchement, chafouinement, subrepticement et préméditationement (ta gueule connard) rappelé, je n'aurais absolument pas remarqué qu'aujourd'hui je prenais un an de plus dans les dents.

Et oui, voila, une fois de plus trahi par les amis, non, par LES FEMMES ! (BRULONS LES FEMMES !) On les approche, on s'y attache, et à cause d'elles on viellit par surprise, par derrière, à coup de bûche (au chocolat).

Voyez la duplicité. Voyez ces rides qui s'étendent, sillons sans même une goute de sang impur pour les abreuver, creusés par un mail assassin : "bon anniversaire". Voyez ces cheveux qui tombent (bon, ca ca a ptêt un rapport avec mon rasoir - oui, j'ai re-la boule à Z). Voyez ces dents qui chevrotent, voyez ce style de plume qui tend de plus en plus vers le cacochyme. Voyez Maïa qui commence déja à fourbir son fusil de sniper. Voyez mon buraliste qui sourit - il sait, lui aussi, que le cercueil commence déja à claquer du couvercle. Salaud de marchand de cancer. Salauds de calendriers. Salopes de femmes. Salaud de temps qui passe.

Enfin bref, plus que 7 ans à tirer.

I hope your cellmate thinks he's God
But C.N.N. refer to him as "Bowling Ball Bag Bob"
Serving time again for abuse of a corpse
Only this time the victim's a Clydesdale horse
While he masturbates to photos of livestock
He does the "Silence of the Lambs" dance to Christian Rock
Eats feces and quotes from "Deliverance"
And fights with his imaginary playmate Vince
The Bloodhound Gang - I Hope You Die

Et woalaaaa ! Un nouveau layout frais, rutilant, sous cellophane, totalement new concept fashion paradigm, faisant fi de l'ancien dogme consistant à vous poutrer les yeux sans vergogne, et multiplement amélioré par de judicieux gadgets, genre un double-layout (planqué évidemment, on est élitiste ou pas), un radio-blog, une Overspace-zone, des liens qui pointent vers quelque chose, le tout mettant moins d'une demi-heure à charger comme c'était le cas avant. Je sais, je sais, je vous gâte, je suis trop bon, n'en jetez plus.

J'ai encore la partie textes à finir de compiler, mais à part ca ca devrait être bug-free. Si vous trouvez des merdouilles, ou que vous trouvez que c'était mieux avant, tout est de la faute de Jaded. Si vous aimez, il convient évidemment de louer mes grandioses idées, Jaded n'ayant été que l'exécuteur des basses oeuvres, et si on commence à médailler les sous-offs, ca n'ira plus.

Je déteste les gens qui n'ont d'avis sur rien, jamais, qui ne vivent que pour être d'accord avec leur entourage, pour surtout ne pas lui être le moins du monde désagréable.

Je ne supporte pas les gens qui ont un avis sur tout, se sentent experts sur tel ou tel sujet parce qu'ils ont lu un livre, voire un article, ou même comble du ridicule, un sujet dessus à la télé. Pas plus que je ne supporte les gens tellement enfermés dans leur avis qu'ils refusent de considérer quelque vue contraire, ou pas-contraire-mais-pas-pareil-quand-même, et qui gueulent sur tous les toits leurs convictions imbéciles.

J'ai horreur des gens qui ont le même avis que moi.

J'ai envie de gifler les cuistres qui ont les mêmes idoles que moi, sans pour autant avoir les mêmes idées, ou qui ne les aiment pas pour les mêmes raisons, ou qui les aiment pour les mêmes raisons et partagent mes idées.

J'abomine les gens qui prétendent que la société, la religion, le Bien Général, la mission, les interêts supérieurs de la nation (dieu que cette expression est crétine...), le drapeau, la morale, les principes, le droit des animaux ou quoi que ce soit, sont plus importants que l'homme, l'individu, son interêt propre, sa vie, ses envies, son opinion, sa façon de vivre, de penser, de parler.

J'encule les connards qui font passer leurs interêts propres, leurs vies, leurs envies, leurs opinions, leurs façons de vivre, de penser, de parler, avant tout, en particulier avant de considérer ceux des autres.

J'abhore les hypocrites qui font tout le contraire de ce qu'ils prêchent, les malhonnêtes, les menteurs.

Je ne fais pas confiance à ceux qui n'ont rien à cacher.

J'éxècre les blaireaux qui marchent en troupeaux derrière une banderole, un drapeau, une idéologie, une carte de parti, anonnant un discours appris et préformaté, des idées communes à leur bord, ou juste l'opinion générale et admise, sans originalité, sans opinion propre, sans vie.

Je hais les emmerdeurs qui ne choisissent pas de camp, qui ne font jamais que critiquer leurs semblables, sans jamais faire quoi que ce soit de constructif, sans jamais avancer, ou faire avancer quoi que ce soit, sans créer.

Je crache sur ceux qui ne m'aiment pas.

Je vomis sur ceux qui m'aiment.

Je chie sur tous les résignés, tous ceux qui, lamentables et trop lâches pour se battre contre le monde, s'adaptent à lui, compromettent, pactisent.

Les idéalistes aux idées qui marchent "en théorie" m'ennuient.

Je méprise tous les conformistes, toutes ces vies inutiles qui ne font que suivre, toujours, les modes et les usages, les traditions et les habitudes, tous ces présupposés sociaux imbéciles, qui jamais ne seront plus que des numéros gris, des statistiques de vente, d'achat, de population, de vote.

J'ai en horreur les fats, et présomptueux, et arrogants connards qui se veulent différents, supérieurs, extérieurs, faisant tout pour ne pas être comme leur voisin.

Je n'ai que du dédain pour tous les bellicistes, tous ceux qui prétendent qu'on peut justifier un meurtre, une violence, qu'on peut excuser une guerre ou une bombe, qu'on peut se battre pour une idée, une morale, une religion, une culture ou son père.

Je compisse les pacifistes, les non-violents, trop faibles pour agir, trop couards pour défendre leurs idées, leurs principes, leurs idéaux ou leurs frères.

J'déteste tout le monde, et plus j'regarde mon chien, plus j'le déteste aussi.

A part ça, je suis un garçon tout à fait respectueux et tolérant, presque aimable.

Message Personnel et Cryptique : A tous mes lecteurs Danseurs de la Spirale Noire (et je sais qu'il y'en a beaucoup), je tiens à dire que Jaded m'a dit hier que "ces ballerines goth n'ont vraiment rien dans le calbut". Je dis pas ça parce qu'il avance pas sur mon layout hein. Juste, il a dit ça, après vous faites ce que vous voulez. L'éventrer, j'imagine.

Pas grand chose de postable dans la tête en ce moment. Le mois de boulot intensif est terminé, je commence à reprendre une vie acceptable. Entre temps j'ai commencé à fréquenter une gentille communauté d'allumés américains qui me permettent d'une part de mieux comprendre la mentalité Républicaine, et d'une autre de tester mes propres convictions : rien de tel que de les avancer (et donc les défendre, puisqu'évidemment attaquées avec virulence (mais politesse, c'est déja ça) dès le bouton "Envoyer" cliqué) face à des gens qui non seulement y sont totalement opposés, mais qui n'arrivent pas même à comprendre, voire concevoir qu'on puisse les avoir. Essayez de demander, sur un forum patriote et militariste "mais euh, au fait, en quoi le communisme est si "evil", exactement ?". Surtout si en plus vous comettez l'abject crime d'être un de ces traitres lâches de français.

Oui, donc, je m'amuse beaucoup (c'est toujours jouissif, après avoir écouté une longue diatribe d'un "christian conservative" sur combien il est moralement abject d'être pacifiste quand des salauds de terroristes mohamettans égorgent des gentils innocents, de répondre "Ah bon. J'imagine que Jésus était moralement abject, du coup.". Aaah, le plaisir de les voir "perdre leurs bas"...) mais c'est pas ça qui va me fournir des reflexions un rien interessantes à coller ici.

Grosse grosse déception en écoutant le dernier spectacle de Georges Carlin, écrit après le 9/11, puisqu'après des années à cracher sur les militaires et ceux qui les font, déclare que "pacifism is a beautiful idea, but it will get you killed". Ce qui revient un peu à dire "je suis pacifiste, mais bon pas en temps de guerre quoi". Vachement mou du genou. Si même les types intelligents se mettent à être cons, où va le monde, dieu m'tripote, où va le monde...

La politique étrangère occidentale en images zallégoriques.

Comme pas-du-tout-prévu (en tout cas, pas avant qu'elle me prévienne la veille), j'ai trouvé dans ma boite aux lettres l'exemplaire final (je précise exemplaire final parceque *môa* j'avais déja eu droit au manuscrit pré-corrections histoire de m'assurer si ca valait bien le coup de l'acheter - c'était le cas) du bouquin de M.M. (qui souhaite garder son anonymat). Dédicacé biensur, faut pas déconner, je suis pas n'importe qui moi, monsieur. (eh ouais gros, c'est ça de fréquenter la Jet Set. Plébéien va.).

Je cite : "Pour Kobal2, expert ès-snipe, sans qui rien n'aurait été possible, et certainement pas la création de l'Univers".

Et la je suis submergé de joie, à l'idée qu'enfin quelqu'un ait remarqué. Mais non ducon, pas que je suis expert es-snipe (je suis juste une grosse campeuse à l'Arctic à Counter en plus), mais évidemment que l'Univers n'existe que grâce à moi. Merci M.M., je pourrai montrer cette dédicace à mes petits enfants, et quand ils me répondront "Eh mais c'est qui Mazaurette ? EH ! C'est pas la grosse vache qui passe chez Morandrucker ? Ouah, comme elle est MOCHE ! Elle a des rides de partout et tout !", je leur taperai sur les doigts en leur expliquant que c'est pas parce qu'elle est vieille et récupérée, ni qu'elle à l'air d'une franche truffe sur son 4° de couv', ni qu'elle est féministe que ca fait forcément d'elle une conne. En tout cas, au moins pas sur le chapitre de la création de l'Univers.

1. Qu'est-ce qui te donne envie de te lever le matin ?
Je suis sur d'avoir déja répondu à cette question dans un autre questionnaire... Et ca dépend du contexte. En général c'est soit "j'ai pas encore fini Tomb Raider" (si, biensur que j'ai fini Tomb Raider, mais c'était une référence à Brank Shme Bleu d'une part, et une jolie image d'une autre), soit "c'est quoi ce truc à côté de moi ? Eh mais c'est doux, c'est neuf ? C'est lavé avec Mir Laine ? Ah non, c'est une gonzesse. C'est moins bien."
Les autre jours, c'est le manque de clopes.

2. Quel est ton dada ?

Le Tiercé biensur.

3. Quelle est la partie de ton corps qui te représente le mieux ?

Joker. Ou plutot, mon majeur, ca vous va comme réponse Joker ?

4. Quelle a été ta première blessure ?

Physique ou âmale ? Physique j'en sais mais alors foutre rien, je me suis tellement charclé quand j'étais minot... La première vraie blessure de la tête et du coeur et du ventre qui fait bien mal par contre je m'en souviens, c'a a été en seconde, de me faire lâcher par un ami (un vrai ami. Niveau presque frère, voyez ?), sacrifié à la sainte cause de la popularité lycéenne. Oui, je suis d'accord avec vous, finalement j'ai une vie bien répétitive en somme.

5. Pourquoi l'amour est sans pitié ?

Je peux à-peu-près-citer ? Allez allez, siouplait, ca fait tellement longtemps, en plus c'est du Vaquette je sais bien que ça vous manquait vachement, Ok, merci. Donc, parce que "mon bel Amour est grand. Il est un but, un achèvement, une rédemption, un pont, un pont vers le Surhomme : il est un passage, et une chute. Avant, il n'y a rien ; après, il n'y a plus rien, car il est tout."

6. Un lieu qui te fait péter les plombs.

N'importe quel cubicle ou assimilé fait généralement l'affaire.

7. Un mot que tu adores. Un mot que tu hais.

"Futile" et "Résignation".

8. Tu es dans un train n'importe où dans le monde. Où es-tu ?

DANS TON CUL ! Et probablement entre Minsk et Kharkov. Je sais pas vous, moi les trains russes m'ont toujours fasciné.

9. Quelle partie de ta personnalité va bien vieillir ?

Viequoi ? Aurait-on oublié mes résolutions de Jésus-wannabe ?

10. La mort te téléphone avant de venir. Que lui dis-tu ?

"Attends attends ! T'as pas le code d'en bas, t'as un papier, de quoi noter ?"

Pour passer le temps d'ici la fin des exams, une petite citation pour la route. J'adoooore.

God does not play dice with the universe ; He plays an ineffable game of His own devising, which might be compared, from the perspective of any of the other players, to being involved in an obscure and complex version of poker in a pitch-dark room, with blank cards, for infinite stakes, with a Dealer who won't tell you the rules, and who smiles all the time.

JE BOSSE, ON VOUS A DIT, JE PEUX PAS TOUT FAIRE A LA FOIS (d'autant que j'ai pas l'habitude, ca me demande beaucoup de temps d'adaptation)

1. Décris ton état d'esprit en sortant de la séance du premier Matrix.
J'ai pas vu le premier Matrix en séance. A vrai dire, j'ai failli, un an après, le voir dans un cinéma grand écran en plein air aux USA. Finalement, je l'ai vu en divx. Et donc, avec tout le hype autour, mon état d'esprit c'était "Tout ça pour ça ? Ouais, bon, c'est pas mal, mais c'est pas grandiose... C'est tellement nouveau pour eux, l'idée que la réalité puisse ne pas exister ? Je me le demandais déja en sixième bordel !"

2. Maintenant que la trilogie est bouclée, avec le recul et la vision globale du truc, qu'en penses-tu aujourd'hui?
Faudrait déja que j'aie vu le dernier opus. Il est pas encore sorti en divx. Et je me suis fait assez baiser en allant voir le 2 en salles, merci bien.

3. Quel est le plus pénible selon toi: installer une Debian ou courir un marathon?
Courir un marathon ? Non mais ca va pas ? Je m'essoufle déja en soutenant une conversation avec Fabienne. D'un autre côté, faudrait me menacer d'une arme pour que j'accepte de m'approcher d'une Debian a moins de 50 mètres. Et même dans ce cas, c'est selon. Les deux options sont classés dans ma case "pour les cons", pour tout dire.

4. Sans tricher, peux-tu me dire à quoi correspondent les normes IEEE 802.11b, 802.1x et 802.1q?
Euuuuh...Hmmpf. JE PEUX DIRE QUE MA MERE EST LA PREMIERE FRANCAISE A ETRE CHAIRMAN IEEE D'ABORD.
Bon, maintenant, c'est quoi IEEE ?

5. Aujourd'hui c'est la St-Barnabé. Est-ce que tu connais personnellement un Barnabé? A défaut, un Barnabé célèbre?
Il y'a un Barnabé célèbre, il fait escamoteur chez Pennac.

A bien y penser, la différence morale et/ou psychologique qu'il y'a entre tuer un homme de sang froid, en tout connaissance et conscience de cause d'une part, et par exemple enfermer tout un village dans une église avant d'y mettre le feu doit être nettement plus ténue qu'entre tuer un homme de sang froid et n'avoir jamais tué personne. A mon sens, la gradation du crime n'est pas linéaire, mais bien logarithmique, une fois le "premier pas" franchi les autres sont nettement plus "accessibles" ou "faciles".

La question serait alors de savoir où exactement se situe ce fameux "premier pas"... Agir contre sa conscience ? Ca semble être un début de piste acceptable. EDIT : ou peut être agir contre sa conscience ET ne pas le regretter/le justifier ensuite à soi-même.

Je sais pas vous, mais moi j'ai été proprement ulcéré la première fois que j'ai vu la nouvelle campagne de pub Leclerc (pour les nuls, non-entravants et autres ploucards assimilés bourgeois (donc Ennemis de Classe) qui prennent jamais le métro, l'axe de leur campagne de pub est "une pub d'un concurrent imaginaire, pseudo-taggée par des sympathisants à Leclerc, à la manière des anti-pubs.")

A la seconde vision, c'est sur que c'est une façon efficace de lutter contre les casseurs de pubs en tous genres qui font rien qu'a mettre de la peinture noire sur les jolis slogans pubeux. Mais tout de même, quelle idée de connard de récupérer leur combat issu (au moins à l'origine) d'un noble sentiment pour faire de la réclame. D'autant que ca les assure plus ou moins de pas être ruinés à leur tour, puisque allez reconnaitre le vrai tag du faux ? La vraie peinture noire de la fausse ? Alors oui, biensur, d'un côté c'est de bonne guerre, tous les coups sont permis tout ça tout ça. De l'autre, ca donne vraiment l'impression que le gospel publicitaire c'est "car tu es né pute, et pute tu retourneras à la terre."... Qui pis est, ca n'est au final qu'une incitation à changer d'armes. Je préconise l'essence a Zippo.

Sujet différent, j'ai croisé l'autre jour dans Paname un groupe de vétérans de 45, arborant plus ou moins fièrements leurs badges "Johnny Johnson - 90th Infantry" et leurs espèces de petits calots rouges couverts de médailles et autres bandeaux de théatre d'opération (gngmngmg, c'est pas bandeau le vrai mot, quelqu'un peut me rappeler le mot qui désigne les espèces de petits badges de couleur portés sur le coeur, et qui sont censés color-coder les différentes opérations auxquelles le porteur a pris part ?). Je suis même aller leur serrer les pognes, attendu que si ces mecs ont été bien cons d'accepter la conscription (voire pire, de se porter volontaires) pour le Débarquement (eh, m'emmerdez pas, si tout le monde avait déserté y'aurait pas eu de guerre, point barre.), ils nous ont quand même débarassé de "Travail, Famille, Patrie". Je sais bien que le nazisme n'aurait probablement pas fait long feu même sans guerre (après tout, la France avait pas attendu les schleus pour être globalement antisémite, archi à droite, bien pensante etc...), c'est quand même toujours ça de pris. Et donc, je me suis dit que merde, c'était pas très sympa de faire porter à nos héros ces calots rouges ridicules. Ils méritent mieux que ça.

Ceux qui lisent ce blog depuis un bout de temps savent déja à quel point le mariage de ma soeur me fait bad tripper. Enfin, un peu moins depuis qu'on a pu échanger quelques mots sur le sujet elle et moi, mais beaucoup quand même.

Je viens d'apprendre que cette...cette...ICONOCLASTE avait demandé trois morceaux pour la cérémonie : un bout de la BO de Braveheart pour l'entrée et le chemin vers l'autel (bon, pourquoi pas après tout), une chanson de Sardou pour son mec (parait qu'il est fan... On dira jamais assez de mal des beaufs.) et surtout, l'Auvergnat, pour elle.

Je sous-titre pour les incultes et les non-entravants : une chanson de BRASSENS, à l'EGLISE, pour un MARIAGE.

Le pauvre doit faire du hoola-hoop dans sa tombinette. Vous m'excusez, moi je file de ce pas apprendre à chanter "La non-demande en mariage" a capella. Je veux bien être tolérant, accepter et respecter ses décisions pour sa vie et tout, mais faudrait quand même pas pousser. Va y'avoir du cri révolutionnaire cultivé, c'est moi qui vous le dis.

J'ai beau me donner du mal (enfin, un peu), j'y arrive pas. J'arrive pas à retenir quoi que ce soit de ces polys remplis de mots ronflants et sifflant du vent qu'ils compriment, et qui portent des titres du style "Phonologie", "Méthodologie Littéraire", "Concepts Fondamentaux de Linguistique Structurale", autant de matières sentant la transpiration et l'académisme pur porc, disciplines inutiles jusqu'au bout de leur fatuité, et qui n'intéressent que ceux qui les ont conçues pour avoir leur nom en bas de la page.

Je m'en voudrai jamais assez de pas avoir bossé la Littérature Anglo-Saxonne l'année dernière, effrayé par la taille du poly, alors qu'en fait c'est très intéressant. A cause de ça, je me retrouve à bosser toutes ces matières sur lesquelles j'avais fait l'impasse totale (comprenez : j'étais même pas venu à l'écrit) par le désinterêt profond que m'inspirait leur inutile nature et qui, de zéro en zéro, ont amené ma moyenne générale de l'année dernière à 9,8. Oui, 9.8, soit "à 0.2 points près je passais". 9.8, alors que mes notes en histoire, littérature et traduction (thème, version ET grammaire, moi qui n'ai jamais encaissé ça) crevaient largement le plafond.

Et bon, j'y arrive pas. J'ai mis 3 heures pour lire 10 pages d'assomante linguistique. Le tout entrecoupées de pauses clopes et de vagabondages cérébraux divers et variés, n'importe quoi pour pas resté plongé dans le texte. J'ai pas retenu un mot. Mais je vois que vous doutez, que vous vous dites "il éxagère". Y'a pas de raison pour que je sois le seul à souffrir. Prenez ça dans la gueule !

On considère que l'intervention des techniques d'écriture se déroule en franchissant schématiquement trois stades : le stade pictographique où les signes graphiques représentent de façon plus ou moins transparente les objets du monde, et des actions plus ou moins complexes ; le stade idéographique ou logographique, où les signes transposent les morphèmes, autrement dit des unités de première articulation ; enfin le stade phonétique où les signes représentent les phonèmes, autrement dit les unités de seconde articulation.

C'est là l'introduction, le reste est à l'avenant. Le poids (la lourdeur, plutôt) des mots, le choc des paupières. Et c'est commis par un certain A.Meunier, qui devrait probablement être interné d'urgence pour sadisme et "traitements d'une sauvagerie extraordinaire" de ses élèves.

Je m'apperçois (aperçois ? PUTAIN MAIS QUEL BETE VERBE !) avec grande honte que ca fait très, très longtemps que je ne vous ai pas bassinés avec mon très cher Vaquette. C'est un tort : vous profiteriez beaucoup de son contact. Biensur, si jamais vous en pensiez du bien suite à sa découverte via ce blog, je vous en voudrais à mort. Je déteste que des gens partagent mes goûts les plus un'erground, et encore plus quand ceux-ci deviennent mainstream (pas que ce soit le cas, mais j'ai vu éclore son IndispensablE patronyme fleurir sur certains blogs honnis dont je tairai les noms sinon ca va m'énerver). Il ne serait pas de bon ton que ce monsieur soit récupéré avant même que je ne crève de mes 30 ans, tenez vous le pour dit.

A ce sujet, je le précise pour les incultes profonds et autres atrophiés du bulbe qui ne seraient pas encore (qu'ils crèvent. Lentement.) abonnés à l'Encyclique Vaquettienne, que le Maître se produit ce soir, et quelques autres encore (du 3 au 12 juin exactement) pour quelques ultimes (ouais enfin, il nous avait déja fait le coup de "cette fois-ci c'est la dernière, sois là ou pleure" l'année dernière. Connard mercantile.) représentations de "J'veux être Grand et Beau" à son habituelle scène du squat de la Miroiterie, à Paris biensur (je cite pas les dates des trous à ploucs, ca n'a aucun interêt), 88 rue de Ménilmontant, M° Gambetta ou Ménilmontant, attention ca grimpe.

Je serai évidemment là un soir quelconque (vous croyez pas que je vais vous dire lequel non ? Pour que je sois obligé de tenir un stand dédicaces, merci bien) avec une mitrailleuse de 12,7 en batterie pour ratiboiser les gêneurs (i.e. tous les autres spéctateurs). Tenez vous le pour dit. Tas de veaux.

C'est bon, vous pouvez arrêter de venir de chez SaKi comme des lemmings, j'avoue, j'avoue, c'est moi le coupable. J'ai du claquer plus de thunes pour ce cadeau débile que je n'en dépense moi-même en trois mois (sans compter les clopes. Faut être honnête.). Le pire, c'est que cette grue bretonne ne dit pas tout : à la base, j'avais prévu de ramener un camarguais devant la porte de chez elle. Oui oui, un vrai, un chwal, pour la journée ou la semaine, c'est selon (j'avais abandonné l'idée de lui acheter un vieux pour de vrai quand ma soeur m'a dit qu'un camarguais de dix ans vallait dans les 8000 francs. Soit plus de fric que je n'aie jamais eu sur mon compte de ma vie.). Juste pour voir la tête qu'elle ferait.

A vrai dire, je m'étonne encore moi-même : je fais jamais de cadeaux, d'habitude. Le dernier cadeau dont je me souvienne, c'était pour Eve, alors vous voyez comme 1) les circonstances étaient différentes et 2) c'était y'a une paye. Du coup, en faire un (qu'importe le prix d'ailleurs, j'ai toujours brûlé mes relevés de compte sans même les ouvrir. Je vous jure que c'est vrai.) à une blondasse vaguement inconnue, que j'ai du voir une fois dans ma vie ET qui cette fois-là avait été très QDLG quand il s'est agi de verser du malibu-coca sur son nombril (I REMEMBER EVERYTHING. AS IF IT HAPPENED ONLY YESTERDAY. AS IF IT HAPPENED ONLY TOMORROW.), non, vraiment, je comprends pas moi-même.

D'un autre côté, on peut difficilement critiquer la Beauté du Geste, si ? Non, bon. Donc on va dire que c'était pour ça, d'accord ? Ca me fera plaisir, en attendant de comprendre, ou de découvrir que la chafouine avait saupoudré son blog de PCP au moment des faits, auquel cas je lui colle un procès pour la valeur de sa thèse. Oui, je sais, un franc symbolique, mais là encore ce sera pour le Geste.

1. Dans quel(s) domaine(s) autre(s) que l'informatique te sens-tu au moins aussi geek, sinon plus?
J'ai du le démontrer pas mal ces derniers temps : je suis beaucoup trop versé dans l'histoire et la technique militaire. Surtout pour un pacifiste. Oh, et je peins encore des p'tits soldats. Si ça c'est pas g33k...
EDIT : Maintenant que j'y pense, je suis aussi un grand fan d'X-Files, et je pourrais donner des leçons à Georges Lucas soi-même sur l'univers Star Wars. Je suis un cas désespéré, on vous dit.
2. Est-ce que tu utilises *encore* des disquettes?
Ouaips. J'ai d'ailleurs acheté un nouveau lecteur y'a pas un mois, rapport à l'ancien qui ne donnait plus signe de vie (m'enfin ca doit être la seule pièce qui subsistait encore de mon tout premier PC à moi acheté avec mes sous, en 98. Il a droit à la mort, je crois, depuis le temps.)
3. Explique-moi la différence entre un protocole en mode connecté et un autre en mode non-connecté.
T'as des bouquins. Sers t'en, y'a pas marqué hotliner.
4. Te souviens-tu du tout premier mail que tu as envoyé? Si c'est le cas, raconte un peu.
Absolument pas, mais je subodore que le corps de mail devait ressembler à "test 1,2"
5. Lors de ma scolarité, je me suis rendu compte que la plupart des purs nerds de ma promo étaient fans de Mylène Farmer. Je n'ai jamais compris pourquoi, alors si tu as ne serait-ce qu'un début d'embryon de réponse, je suis preneur.
Simple : pour comprendre exactement, il te suffit de downloader le clip de "Pourvu qu'elle soit douce".